Eoliennes : Du rêve à la réalité

Voici un film documentaire très éclairant sur la problématique éolienne et nous invitons chacun à le regarder et à le diffuser… Attention, certains passages sont douloureux car on y découvre l’ampleur du scandale éolien, les injustices financières et sociales de ce genre de projets et la perversité des promoteurs qui se révèlent de redoutables manipulateurs.

VIAPL interpelle les présidents de ComCom

Suite aux dernières élections municipales, les communautés de communes ont vu bien souvent leurs collèges d’élus modifiés. Le prévention contre les iniques projets de grand éolien industriel se joue à tous les échelons institutionnel du national jusqu’au communal.

Dans ce contexte, VIAPL a souhaité sensibiliser les présidents des communautés de communes et a écrit en particulier à Gérad Savoye, président de la communauté de communes Périgord Nontronnais et à Michel Augeix, président de la communauté de communes Périgord-Limousin.

Vous trouverez ci-dessous le contenu de ces deux courriers et nous vous tiendrons au courant d’une éventuelle réponse que nous espérons rapide et factuelle.

Par ailleurs, nous envisageons d’écrire à d’autres communautés de communes en fonction de l’actualité et des menaces qui ne vont pas manquer de se présenter.



BIODIVERSITÉ EN DANGER DANS LE PÉRIGORD VERT … suite …

Voici la réponse de Fabrice CHATEAU, Directeur du PNR Périgord Limousin à notre courriel intitulé « Biodiversité en danger dans le Périgord Vert »

Voici également la réponse de VIAPL à sa réponse…

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Réponse de Fabrice CHATEAU :

Monsieur le Président,

J’ai bien reçu votre message et je vous en remercie.

Pour l’instant le PNR n’a pas été consulté sur ces projets, la procédure veut que, en tant que « personne publique associé » l’Etat sollicite  l’avis du PNR.

Attaché à lutter contre une crise majeure d’extinction de la biodiversité et à faire face au  défi énergétique et climatique qui va bouleverser la planète,  le PNR  prendra  les responsabilités qui lui  incombent au regard de ces enjeux.

Bien cordialement.

Fabrice CHATEAU
Directeur

Maison du Parc – La Barde – 24450 La Coquille
Tél : 05 53 55 36 00 – Fax : 05 53 55 36 01
www.pnr-perigord-limousin.fr

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Réponse de VIAPL :

De
Christian CLAIR
Président de VIAPL
à
Fabrice CHATEAU
Directeur du PNR Périgord Limousin
 
Monsieur Le Directeur,
 
Au nom de tous les membres de VIAPL, je vous remercie d’avoir répondu à mon courrier du 23 mai intitulé « Biodiversité en danger dans le Périgord Vert ».
 
Les membres de VIAPL sont eux aussi très attachés à lutter contre cette crise majeure de la biodiversité et à faire face au défi énergétique et climatique qui va bouleverser notre planète. Une de nos divergences avec vous vient de ce que vous puissiez considérer l’implantation d’éoliennes industrielles géantes comme une solution possible au défi énergétique et climatique alors qu’après une étude la plus objective possible et la plus complète possible, nous sommes parvenus à la conclusion que l’éolien n’est, pour une poignée d' »écolo-businessmen », que le moyen de gagner beaucoup d’argent aux frais des contribuables.
 
En effet, vous (ou en tous cas, si ce n’est pas vous personnellement, c’est au moins le fait de deux élus du Parc qui sont aussi maires de deux communes, à savoir Bernard Vauriac et Pascal Méchineau), soutenez l’implantation d’aérogénérateurs gigantesques qui vont de toute façon avoir un impact plus que néfaste sur la biodiversité – les promoteurs éoliens demandent en effet de véritables « permis de tuer des espèces protégées » – biodiversité à laquelle le PNRPL se dit par ailleurs très attaché, et dans le même temps, vous organisez des ateliers participatifs sur le paysage alors que des éoliennes industrielles géantes de 200m de haut vont plutôt défigurer le paysage du PNR (ainsi qu’une simple maquette à l’échelle permet de s’en rendre compte). Positions et agissements du PNR pour le moins paradoxaux et ambigus.
 
Regrettant que le Parc ait pu admettre l’idée de laisser construire dans son environnement privilégié des machines industrielles gigantesques (de 200m de haut !) qui ne feront que détruire sa biodiversité et ses paysages sans pour autant produire une quelconque énergie rentable, les adhérents de VIAPL et les nombreux pétitionnaires révoltés contre ces projets éoliens monstrueux restent très attentifs aux décisions et aux orientations prises par le Parc quant à ces projets.
 
Puisse ce courrier vous donner l’envie de vous documenter plus avant sur ce qu’il faut bien appeler « le scandale d’État de l’énergie éolienne » (ne serait-ce qu’en référence au dernier rapport de la Cour des Comptes).
 
Bien cordialement à vous,
 
Christian CLAIR, pour tous les membres de VIAPL
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à suivre…

OUI LES INFRA-SONS SONT DANGEREUX POUR LA SANTÉ !…

Pour celles et ceux d’entre vous qui n’auraient pas encore eu la possibilité de visionner cette conférence fort instructive sur les infrasons.

De quoi répondre aux promoteurs éoliens quand ils nous disent que les éoliennes ne sont absolument pas dangereuses pour la santé !…

(NB : Cette conférence est déjà sur le site de VIAPL mais en anglais uniquement – dans la rubrique « Articles en anglais » (English Posts) en date du 13-02-2018)

Cliquez sur le lien ci-dessous :

Santé et infra-sons par le Pr. Mariana Alves-Pereira – stop eolien 02

Bonne conférence…en un peu moins d’une heure, vous comprendrez pourquoi les éoliennes (et toutes les machines qui produisent des infra-sons) sont néfastes pour la santé…

DES CONSEILS ET DES MÉTHODES CONTRE L’ÉOLIEN.

Ce sont des choses que nous connaissons déjà…mais de temps en temps cela ne peut pas faire de mal que de se les remémorer…merci à l’Association Environnementale du Sud Touraine (AEST 37) de nous y aider.

AEST 37   7 avril 2018    Centre-Val de Loire

Étapes dans l’opposition à l’implantation d’usines éoliennes

Quand un financier-industriel éolien jette son dévolu sur un terroir où nous avons choisi de vivre dans un cadre bucolique paisible, habité par une population attachée à la ruralité…

 

Voici une série de conseils élémentaires : chacun doit être illustré, et complété par des dossiers.

Quand un financier-industriel éolien jette son dévolu sur un terroir où nous avons choisi de vivre dans un cadre bucolique paisible, habité par une population attachée à la ruralité et à un environnement paysager et faunistique familier, nous, les autochtones, les indigènes, inscrits dans ce cadre patrimonial…Nous sommes abasourdis, incrédules :

Comment, pour un profit privé et de surcroît financé par les consommateurs et la population, une firme internationale peut-elle, de son seul gré, détruire une entité humaine, économique, culturelle ?

Au sortir de l’hébétude, nous nous disons d’abord « ce n’est pas possible », les voisins et les collectivités territoriales et surtout les services de l’État vont s’opposer à la violation de notre Droit constitutionnel à la tranquillité. Au fil des contacts et des démarches une autre réalité apparaît :

  • le voisin agriculteur si serviable avoue qu’il a signé un bail car moissonner le vent rapporte plus que moissonner des céréales et que les deux syndicats la FNSEA et même les écolos de la Confédération Paysanne sont favorables. (un comble car les socles dénatureront à jamais les terrains ;

  • les habitants du voisinage se retranchent derrière l’assurance qu’ils n’auraient pas de nuisances ;

  • les élus plaident pour les retombées financières et les travaux annexes compensatoires, une aubaine pour les finances communales et avec l’argument bonne conscience « c’est pour sauver la planète ! » ;

  • certaines associations essentiellement préoccupées d’être reconnues comme mouche du coche pour avoir le privilège de côtoyer et de causer à l’oreille des élus préconisent d’élaborer d’abord une liste de technologies spécifiquement locales pour prouver qu’on peut se passer de l’éolien.

Alors, il ne reste qu’une solution : se sauver soi-même en constituant une association d’opposants déterminés à s’informer de façon autonome à partir d’évidences :

  • La France et notre région en particulier produisent plus d’électricité qu’elles en consomment. Il faut refuser la question rusée des pro-éoliens « Par quoi proposez-vous de remplacer l’électricité éoliennes

  • d’une part, il n’y en pas besoin et de plus, elle est de mauvaise qualité par son intermittence. Ses nuisances et ses surcoûts indus suffisent à fonder un rejet absolu.

  • d’autre part, il faut refuser la culpabilisation induite par l’idéologie catastrophiste de la Loi de Transition Énergétique et ses déclinaisons locales = les territoires à énergie positive … pour accomplir une bonne action politiquement correcte = sauver la planète par les EnR décentralisées sans évaluer leurs surcoûts et les risques liés aux conditions de production et de distribution.

  • Pourquoi subir les nuisances des usines-aérogénérateurs, le surcoût de leur production et les taxes impôts innommés qui abondent l’effet d’aubaine pour des investisseurs privés ?

  • Même si on le regrette, aucune technologie intermittente et aléatoire ne peut se substituer à court terme au nucléaire et à l’hydraulique qui assurent la régularité de la distribution de l’électricité.

  • L’arnaque tant technologique que financière et les nuisances multiples des usines éoliennes sont démontrées.

  • Les habitants et les associations n’ont pas à justifier leur opposition à l’éolien parce qu’ils auraient des solutions alternatives = prétention qui tient plus de la frime auprès des élus locaux que du sérieux scientifique et économique. Pas d’auto-culpabilisation non plus = pas d’éoliennes ici ou ailleurs.

Les deux fédérations nationales contre l’éolien industriel fondent leur opposition sur une connaissance approfondie de la piètre efficacité de cette technologie, de ses nuisances sur le cadre de vie économique et sociale, les paysages … pas parce qu’elles auraient un plan B reposant sur une panoplie de technologies locales alternatives dont la production est dérisoire et les surcoûts exorbitants par rapport à la production nationale.

Créer une association locale à l’initiative des habitants « impactés » en choisissant une appellation qui inclut les habitants des communes riveraines. Dans cette phase, la connaissance directe entre habitants est indispensable à l’acceptation de l’association fondée sur une confiance réciproque.

Adhérer à l’association régionale (ici l’AEST) qui a déjà l’expérience de l’opposition aux éoliennes et qui par son antériorité pourra ester en justice et faire le lien avec les fédérations nationales Vent de Colère et Fédération Environnement Durable.

Concevoir la stratégie selon cinq registres d’argumentaires :

  1. convaincre les habitants qui sont a priori disposés à croire les sornettes médiatiques… et gouvernementales : « chacun doit contribuer à la lutte contre le Réchauffement Climatique » (Grand Satan moderne) donc  » Cause Nationale = mobilisation de tous les Citoyens Conscients et Responsables », donc « Énergies renouvelables = éoliennes qui symbolisent la Pureté et la Propreté » = conséquence de ces manipulations culpabilisantes : chacun doit accepter des « désagréments personnels secondaires et égoïstes » pour contribuer à la production nationale d’énergie. Seule l’information contradictoire peut faire reculer ce nouvel obscurantisme que les Verts ont réussi à imposer comme idéologie de remplacement après la faillite des idéologies du progrès et du consumérisme infinis qui étaient la théologie de l’époque. La nôtre est celle de l’esprit de sacrifice pour l’urgence planétaire. Quand les habitants sont informés que leur vie quotidienne et la valeur de leurs biens seront impactées, sans parler d’éventuelles nuisances pour leur santé, ils s’émeuvent avec lucidité.

  1. les élus : la même désinformation sévit mais en plus, il y a l’hypocrisie de certains qui feignent de croire aux vessies des promoteurs : les retombées financières pour les collectivités territoriales. Soudainement, ils deviennent des partisans des thèses catastrophistes évoquées. Il suffit d’une invitation des « développeurs » éoliens à visiter un « parc éolien » après un bon repas et des promesses de « travaux compensatoires » : bilan thermique gratuit des bâtiments municipaux, réfection de la cour d’école ou de voies communales …

Nous avons adressé notre dossier par mail à tous les élus et régulièrement des argumentaires sur les risques de conflits d’intérêts et les fausses promesses des promoteurs.

L’argument qui porte est l’explication de la Loi BROTTES et des décrets LECORNU pour faciliter les implantations qui les privent de tout avis décisionnel : court-circuitage de leurs responsabilités et pouvoir d’élus : démocratie locale bafouée, projets économiques piétinés = ils sont piqués au vif.

Nous les mettons régulièrement en garde contre l’acceptation de la proposition des « développeurs » d’une délibération pour « une étude de faisabilité … qui n’engagerait à rien » mais qui en fait leur permet d’engager les démarches auprès des propriétaires en se prévalant de l’accord de la municipalité !

  1. le Commissaire Enquêteur est formaté pour esquiver tous les argumentaires critiquant les arnaques technologiques, les impacts paysagers. L’exemple de l’Allier : deux contre-études d’associations, d’une qualité scientifique exceptionnelle ont été retoquées, balayées par le CE avec désinvolture= ces avis divergents ne sont pas reconnus par les services de l’État. Plutôt que de développer des arguments critiques scientifiques, il faut relever les failles dans le dossier du promoteur : photomontages truqués, étude environnementale incomplète. Il faut faire une étude critique du dossier soumis à enquête publique mais c’est la mobilisation locale qui peut l’impressionner et l’amener à émettre un avis défavorable pour cause d’opposition déterminée des habitants et risques de zizanie.

  1. le Préfet qui donne un avis décisif est conseillé par ses services préfectoraux départementaux, la Direction des Territoires, et régionaux la DREAL et l’Agence Environnementale »… qui font souvent du zèle pro-gouvernemental. À ce niveau les oppositions des élus sont efficaces mais les Préfets du département et de la Région tiennent aussi à préserver l’avenir de leur carrière…

  1. le Tribunal Administratif était devenu l’aboutissement inéluctable des procédures. Comme il était saisi systématiquement soit par le promoteur soit par les associations et les habitants et ne jugeait que sur les aspects formels, ça aboutissait, parfois, au refus de certains projets pour erreurs ou manques du promoteur. Les décrets LECORNU prévoient de supprimer ce 1er échelon et de donner aux Cours d’Appel ce rôle. A ce niveau, il faudra prendre un avocat : un coût dissuasif pour les habitants et les associations. Il faut donc réserver des arguments, sans les révéler dans les phases antérieures, pour dénoncer des vices de forme, des failles juridiques dans l’enquête publique devant la Cour d’Appel.

Voici une série de conseils élémentaires : chacun doit être illustré, et complété par des dossiers.

Association Environnementale du Sud Touraine : aest37@orange.fr 02 47 59 56 63

POSONS DES QUESTIONS À ABOWIND !…

En cliquant sur le lien ci-dessous, vous accèderez au site AboWind spécial Projet de la Queue d’Âne. Vous y lirez un minimum d’informations (qui datent un peu) sur le projet et sur le traitement du dossier d’Autorisation Unique déposée en Préfecture, mais surtout, vous pourrez poser des questions à AboWind sur ce projet.

Voici le lien :

COMMUNICATION ET CRI D’ALARME D’UNE ELUE A PROPOS DES EOLIENNES INDUSTRIELLES…

Extrait de la Lettre d’Information N°4 de janvier 2018 de la FED (Fédération Environnement Durable)

A DIFFUSER LARGEMENT….entre autres à nos élus…

Aux adhérents et sympathisants de la Fédération Environnement Durable

Lettre reçue de

Madame PESTRE Isabelle.

Maire de La Chaussée  Sur Marne.

Conseillère régionale GRAND EST.

Alsace Champagne Ardenne Lorraine.

Cette lettre résume l’immense scandale et la duperie écologique de l’éolien en France

merci de la diffuser à vos contacts 
Elle est attachée aussi sous forme PDF à ce mail

Cordialement

JL Butré
Président

Fédération Environnement Durable

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Madame, Monsieur,

Je suis Maire d’un village du département de la Marne qui possède sur son territoire 10 éoliennes MAIS aussi et surtout le poste électrique ENEDIS qui reçoit la production éolienne de tous les villages alentour.

Le village était déjà doté d’un superbe poste RTE construit dans les années 50.

Tous cela à 15 m de la première habitation qui elle, date de 1810.

Autant dire que nous sommes ravis car en plus nous ne percevons pas les IFER car nous sommes dans un EPCI en FPU.

L’EPCI encaisse 377000€ annuels d’IFER  et notre village ne perçoit que 35000€ / an ( 5000 € de la première éolienne avant la réforme de la taxe pro, donc dans notre transfert de charges avec l’EPCI et 30 k€ négociés aux forceps avec la com com. = Soit 9%.)

Mis à part le peu de retombées économiques , alors que nous avons toutes les nuisances, nous sommes confrontés à un nouveau problème et pas des moindres

La première éolienne de Champagne Ardennes a été installée sur le territoire de La Chaussée sur Marne , elle vient d’être démantelée pour que le propriétaire puisse en construire une plus haute et donc plus puissante. Et à 30 m des fondations de l’ancienne car techniquement il est impossible de se reposer sur les anciennes fondations.

Lors du dépôt de permis de construire, je me suis renseignée sur le devenir des fondations de l’ancienne éolienne.

Et là , catastrophe, je découvre que la Loi occulte cette problématique des fondations en béton armé.

La Loi stipule arasement à moins un mètre en zone de culture et moins deux mètres en zone boisée.

Ce qui est une catastrophe écologique , des milliers de tonnes de béton armé vont donc rester en sous-sol !

Ce n’est pas avec un mètre de terre (sur une surface de 400 m2) que l’on peut cultiver du blé, des betteraves de la luzerne…

« Il n’y a qu’un gars de la ville pour croire à une telle ineptie ! »

Des racines de blé descendent à 1m20 de profondeur.

De la luzerne entre 2 et 3 m

Du maïs à 1m80

Et pour que la terre soit nourricière il faut que l’eau puisse s’infiltrer et remonter par capillarité

,les fondations ne permettent plus ces échanges d’eau , la terre est donc MORTE.

Si donc tous les 15 ans , les éoliennes sont déplacées de 30 m pour en reconstruire une plus grande à côté, on va multiplier les surfaces de terre mortes .

Quand j’en parle autour de moi, je me rends compte que les politiques sont loin d’avoir tous compris le danger.

Je lis souvent vos mails et , ne vois pas encore ce sujet abordé.

Pourriez-vous communiquer sur ce sujet ?

De mon côté, j’ai déjà alerté le préfet de la Marne, la sous-préfète de Vitry le François, le vice-président de la région Grand Est en charge de la transition énergétique ( Franck Leroy, maire d’Epernay), le Président Jean Rottner, le député Charles  de Courson qui m’a promis une question au ministre de l’écologie mais cela tarde à venir.

Bien cordialement.

Madame PESTRE Isabelle.

Maire de La Chaussée  Sur Marne.

Conseillère régionale GRAND EST.

Alsace Champagne Ardenne Lorraine.

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OUI, LES EOLIENNES FONT FUIR LES TOURISTES…

Un communiqué de la Fédération Environnement Durable (FED) et un extrait d’un sondage de l’Association des Hébergeurs Touristiques de l’Indre et des départements limitrophes (AHTI) à propos de l’influence néfaste des éoliennes sur le tourisme.

Paris le 5 décembre 2017
>
> Communiqué de Presse de la Fédération Environnement Durable 
>
> Oui, les éoliennes font fuir massivement les touristes et menacent le PIB des espaces ruraux.          

>
> L’association des Hébergeurs Touristiques de l’Indre et des départements limitrophes (AHTI) vient de publier un sondage d’opinion qui apporte des éléments quantitatifs nouveaux sur l’impact de l’implantation d’éoliennes industrielles dans le choix d’une destination touristique où la nature est recherchée.

L’enquête a été menée en 2017 auprès d’un corpus de 1280 touristes âgés de 18 ans et plus, accueillis en Gîtes et Chambre d’hôtes de l’Indre. Les résultats révèlent que 97% des touristes ne choisiraient plus ces gites touristiques si des éoliennes se trouvaient dans un environnement proche.
>
> Les résultats montrent explicitement que l’attractivité touristique d’un territoire, et donc son PIB, peuvent être anéantis par une implantation d’éoliennes industrielles.
>
> Cette étude confirme les nombreuses alertes reçues par la Fédération Environnement Durable (FED) indiquant que le tourisme vert est la première victime de l’industrialisation des campagnes par les éoliennes industrielles. Dorénavant hautes de 185 mètres, toujours autorisées en France à 500 mètres des habitations, les éoliennes industrielles vont s’élever prochainement à 235 mètres de haut (cf. projet Hauts de l’Armançon dans le Tonnerrois).

> Constatant la dégradation actuelle des paysages ruraux français et de la qualité de vie de ses habitants par 7000 éoliennes en fonctionnement pour une production électrique de 1% ce lundi 4 décembre 2017, la FED demande l’arrêt immédiat de l’implantation de nouvelles machines et considère irresponsable le plan actuel du Ministère de l’environnement annonçant tripler ce nombre d’ici 2023.
>
>
> Contact Presse

Fédération Environnement Durable
> Jean-Louis Butré
> contact@environnementdurable.net
> 06 80 99 38 0 8
> Pdt FED

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> Document  AHTI
>
Association des Hébergeurs Touristiques de l’Indre et des départements limitrophes
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http://association-hebergeurs-touristiques-indre.com
>
ahtindre@gmail.com
>
>
>
> Extrait du SONDAGE:
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> L’association AHTI vient de clôturer une enquête afin d’apporter des éléments de mesure concernant l’impact d’implantation d’éoliennes industrielles sur le choix d’une destination touristique.
> Cette enquête a été menée en 2017 sur un corpus de 1280 touristes accueillis en Gîtes et chambre d’hôtes de l’Indre ou visiteurs (âgés de plus de 18 ans).


>
Quel serait l’impact de l’implantation d’éoliennes industrielles sur votre choix de destination touristique ?

o   Si ces éoliennes sont visibles depuis votre lieu d’hébergement :

§  Dans un environnement proche (0 à 2 kms) :                    97 % changent de destination

§  A moyenne distance (2 à 10 kms) :                                  95 % changent de destination

§  A l’horizon (> à 10 kms) :                                                 72 % changent de destination

o   Si ces éoliennes sont visibles lors de vos activités touristiques dans le PNR Brenne ou à proximité :

§  Dans un environnement proche (0 à 2 kms) :                    71 % changent de destination

§  A moyenne distance (2 à 10 kms) :                                  56 % changent de destination

§  A l’horizon (> à 10 kms) :                                                 34 % changent de destination

> Les résultats obtenus montrent clairement que l’attractivité touristique d’un territoire et donc de son PIB peuvent être anéantis avec l’implantation d’éoliennes industrielles

EOLIENNES : LE VENT ET L’ARGENT DU VENT…

Un article fort intéressant de Ludovic Grangeon, transmis par Jean-Louis Butré, Président de la Fédération Environnement Durable.

Eoliennes : le vent et l’argent du vent

par Ludovic Grangeon
05/12/2017

http://www.economiematin.fr/news-le-vent-et-l-argent-du-vent

Tout monopole fermé conduit au suicide économique. La filière éolienne française prend tout droit le chemin du vaste cimetière français des projets absurdes.

 

La ligne Maginot,  les abattoirs de la Villette, les satellites TDF1, le Crédit Lyonnais, le Crédit Foncier, le GAN, le vaccin H1N1, les portiques de l’écotaxe, etc….ont englouti autant de milliards en pure perte, sauf pour quelques uns…

Constat implacable en novembre 2017 et immense déception du célèbre quotidien écologiste Reporterre qui a réalisé une importante  enquête approfondie sur la filière éolienne française:  jugée tout sauf alternative, dont des membres vont jusqu’à utiliser les codes sexistes les plus lourds du marketing classique pour vendre à n’importe quel prix. Sa conclusion :  « les soucis écologiques pèsent finalement bien peu, les objectifs de réductions de consommation d’énergie semblent bien lointains. Et les problèmes posés par la technologie éolienne restent, eux, au second plan. »
 

L’éolien est la solution la plus marginale, la plus discutable, la plus intermittente des énergies renouvelables, mais la plus prisée des spéculateurs financiers. Pourquoi cet engouement malsain ?… 

 

Les nouvelles filières émergentes d’énergies renouvelables zéro émission développent des solutions bien plus performantes au niveau économique et technique. L’autoconsommation réduit la facture d’électricité, alors que l’éolien la multiplie par 3 en tarif de production. Injecter une énergie intermittente dans le réseau pour qu’elle revienne à son point de départ est un non-sens technologique et économique. Le succès des éoliennes urbaines de Londres ou d’Essen le démontre. L’impôt du contribuable va directement enrichir démesurément des promoteurs éoliens, et sans contrepartie. Pourquoi cette injustice?… Un petit noyau d’opérateurs a accumulé en seulement quelques années un pactole privé personnel de près de dix milliards grâce à une taxe publique qui est même payée par les ménages non imposables sur le revenu.

 

Le loup a trempé sa patte dans la farine, le financier s’est repeint en vert. Créé depuis dix ans, un petit syndicat entre soi, fait de cabinets financiers et d’industriels aux procédés incertains, s’est emparé d’une manne subventionnée à 100%. De nombreux  parlementaires ont qualifié ses méthodes de « discutables ». Grâce à ce monopole et avec quelques connivences politiques et administratives, il a pu négliger toute technique innovante, tout nouvel acteur soucieux du public, pour s’occuper essentiellement de la prospérité fermée de ses membres, faire croire qu’il n’existait qu’une sorte d’énergie renouvelable, la pire. En quelques années, des fortunes considérables y ont été amassées grâce à une taxe obligatoire, payée par les ménages les plus modestes. Bien pire, ces fortunes de l’éolien, totalement subventionnées par le contribuable français, sont souvent logées à l’étranger en toute impunité. Un comble : le nom d’EDF a même été utilisé pour constituer au Luxembourg la fortune la plus insolente d’entre elles.

 

Et surtout… ça ne marche pas… à prix d’or ! L’Institut Montaigne note dans une analyse de juin 2017:« aucun champion mondial de la fabrication d’éoliennes ou de panneaux photovoltaïques n’a émergé en France, malgré les cinq milliards d’euros de taxes que paient annuellement les consommateurs d’électricité pour soutenir les renouvelables »

Tout cela pour à peine 5% de l’électricité française seulement 20% de l’année….au gré aléatoire…du vent…  sans jamais savoir quand elle arrive, la pire forme d’électricité et le plus mauvais rapport qualité prix, aux créations d’emplois plus supposées que constatées. Les sites éoliens sont des déserts télésurveillés de l’étranger sans un seul emploi sur place. Jamais les soi disants emplois créés n’ont été confirmés par aucune statistique officielle, et ils font souvent double emploi avec d’autres activités classiques; conseil, BTP, gestion immobilière, négoce, puisqu’ils sont autodéclarés…! Ainsi que le remarque le quotidien La Croix:  les quelques fabricants français comme Vergnet, Franceole, sont en grande difficulté, de redressements judiciaires en cessation de paiements. Les participations pourtant conséquentes de la BPI accroissent encore l’effort du contribuable vers des risques marqués, car les autres banques refusent désormais de les cautionner. Une grande partie de ces activités est en conversion urgente vers la construction métallique et la serrurerie.

 

Vers des Jurassic parcs éoliens

Pour  5 % de son  électricité, la France condamne entre un quart et un tiers de son espace naturel à des engins spéculatifs obsolètes qui deviendront des friches rouillées comme 14 000 autres aux USA (American Thinker), puisque ce sont les mêmes financiers qui les gèrent. Grâce au démarchage de petits maires naïfs, comme l’avaient prédit d’éminents Sénateurs le 21 novembre 2009, et sans créer d’emplois locaux malgré des centaines de millions de mouvements financiers, le territoire rural français devient une colonie financière, gravement mitée en gruyère sans aucune coordination administrative de monstres de 150 m de haut qui « marchent » l’équivalent d’ 1 jour sur 5 dans l’année et ne créent aucun emploi local.  Et pourtant, le moindre permis de construire d’un garage ou d’une fenêtre dans les mêmes périmètres demande des mois de formalités et des dizaines de documents, quand il est accepté.

 

Bien pire, le service anti corruption du Ministère de la Justice a consacré un long chapitre à ce secteur de l’éolien, assorti d’exemples très parlants, en soulignant qu’il était sans doute l’un des plus exposés à la corruption et à la prise illégale d’intérêts.Toutes ces opérations se font de gré à gré, hors procédure publique de passation de marché. La complaisance inexplicable envers le secteur éolien, si elle se poursuit, nous mènera tout droit en zone grise, proche des dangers des ententes illicites et des pratiques mafieuses, même si une partie de cette profession souhaite l’éviter. On le voit déjà en Italie, en Espagne, au Portugal et dans certaines régions du Royaume Uni, où de nombreux scandales ont éclaté. Une mystérieuse banque arabe, inconnue en Europe, a récemment fait en France l’acquisition de l’un des opérateurs de ce secteur, alors pourtant qu’elle est connue dans son pays pour avoir été impliquée dans d’importants scandales de corruption, selon des sources incontestées comme le Financial Times.

 

Les dommages collatéraux s’accumulent – une éolienne à moins de 7km tue tout tourisme local en France

La France  premier pays touristique au monde grâce à ses paysages typiques, scie joyeusement la branche sur laquelle elle est assise pour un enjeu dérisoireUn récent sondage (AHTI) sur un échantillon représentatif de 1280 personnes réalisé dans la vallée de la Loire, prouve que 90% des touristes ne reviendront pas ou annuleront leur réservation si une éolienne est située à moins de 7km de leur lieu de résidence.  On peut aussi constater le désastre agricole qui s’annonce comme par exemple le long de l’autoroute A10, par désséchement et érosion des sols dans l’une des plaines les plus riches de France, alors qu’une seule éolienne brasse 38 tonnes d’air à la seconde, soit 6 éléphants, par simple vent de 20kmh. Les biens immobiliers ayant chuté de moitié de leur valeur se comptent désormais par milliers, plongeant souvent des ménages dans des situations catastrophiques. Plusieurs études récentes réalisées en France par des professionnels sur des durées longues( Grangé, Sud Morvan),  et l’analyse de plusieurs décisions de justice montrent clairement des dépréciations de 20 à 40% et même le dépeuplement massif de certaines zones par logements vacants. Ce dernier dommage correspond en valeur à la totalité des investissements dans l’éolien …Une compagnie d’assurances (MMA) a mis sur le marché un produit  de couverture de dépréciation pour ce genre d’évènement. Enfin, la filière éolienne est loin d’être écologique avec désormais le problème de pollution du recyclage des pales d’éoliennes en résine qui atteint le million de tonnes, les huiles industrielles, les lanthanides ultra polluantes dont l’extraction pollue plus que le nucléaire, les milliers de tonnes de béton enfouies dans le sol dont les ferrailles vont se réveiller pour acidifier les sols, les décès d’ouvriers maintenance à grande hauteur, les accidents aériens inexpliqués comme celui de ChateauThierry. etc…

 

Le chant du cygne : l’éolien cherche à ramasser les dernières miettes du festin

Un vice terrible de raisonnement consiste à essayer de faire croire que la France « ne remplit pas ses objectifs » par rapport à Bruxelles. Or, comme le dit très bien la Cour des Comptes dans son rapport de 2015,  il suffit de lire la nouvelle Directive Energie Renouvelables, non encore appliquée en totalité par la France, pour constater qu’elle corrige totalement l’ancienne;  Bruxelles parle d’objectifs d’énergies renouvelables et non plus d’énergie éolienne. L’éolien est la moins performante et la plus infime des énergies renouvelables par rapport à l’hydraulique, à la géothermie, et maintenant aux nouvelles filières zéro rejet CO2. Bien pire, Bruxelles a confirmé que la filière éolienne, telle que gérée en France, n’était pas compétitive et devait rapidement tomber dans le droit commun avec des tarifs normaux à terme, c’est à dire trois fois moins chers. La Cour des Comptes (rapport fev 2015) a utilisé des qualificatifs très durs « laborieux »  « négoce perturbé » et même « chaotique » pour dénoncer le bilan catastrophique de ce secteur depuis des années, en vain, pour quelles raisons ?….La Commission de Régulation de l’Energie a dénoncé depuis 2006 l’incroyable rente servie à ce secteur grace à des tarifs exorbitants non justifiés par la perfomance et payés par le contribuable. La Cour Européenne de Justice a condamné ce système au terme de trois ans d’instruction sur requête du Conseil d’Etat. Des milliers de propriétaires vont se retrouver dans des situations périlleuses gravissimes avec les immenses socles de béton enterrés dans leurs terrains, mystérieusement « oubliés » dans les responsabilités des promoteurs éoliens, contrairement à la Directive européenne pollueur-payeur ou encore au dispositif Reach.

 

Mais cela ne suffit pas. La bande de l’éolien veut encore plus et plus vite. Sous couvert de l’étude de « simplifications » ce milieu entreprend désormais le gouvernement Philippe pour se plaindre de « recours abusifs » et pouvoir installer ses éoliennes « librement » grâce à ces « simplifications ».

Un ministre responsable peut comprendre qu’il n’y a ni abus ni plaisir dans des recours administratifs complexes menés malgré eux à regret, à leurs frais et sur leur temps personnel par des bénévoles dont l’activité économique, le domicile, ou l’environnement  sont menacés. Un promoteur voulant construire une tour de bureaux à Montmartre, un industriel désireux d’installer une centrale d’épuration au Cap Ferret, ou une décharge publique au château de Chambord, diront la même chose et se plaindront de « recours abusifs ». On a d’ailleurs vu un immense projet éolien au Mont Saint Michel et dans plusieurs parcs naturels. Cette « stratégie du doute » est le propre des entreprises qui exigent une docilité absolue de leur personnel. Elle révèle un appétit de pouvoir et d’argent décidément sans fin… à moins que le politique n’en prenne conscience…Sinon nous allons tout droit à de multiples affrontements locaux de type Bouriège, Sivens ou Notre Dame des Landes. Rien n’est plus vulnérable qu’un site désert d’éoliennes, et déjà les voies de faits se multiplient, même si elles sont étouffées. Qu’en sera t il si l’opinion publique est bridée ?. Cette simplification risque d’être une dernière victoire à la Pyrrhus avant la fin.

 

 

Cordialement

Jean-Louis Butré
Président

Fédération Environnement Durable

http://environnementdurable.net

contact@environnementdurable.net

1000 mètres entre les éoliennes et les habitations

1 000 mètres entre les éoliennes et les habitations

Proposition de loi de M. Marc Le Fur visant à exiger une distance minimale de 1 000 mètres entre les éoliennes et les habitations, les immeubles habités et les zones destinées à l’habitation.

Bonjour à toutes et à tous,

Cette proposition de loi, déjà déposée en mai 2017, vient d’être déposée à nouveau le 8 août 2017 et renvoyée à la la commission du développement durable et de l’aménagement du territoire :

Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir cet article :

http://fr.friends-against-wind.org/justice/1000-metres-entre-eoliennes-et-habitations

 

 

Bien cordialement, Dominic Mette

Ensemble contre les éoliennes
www.friends-against-wind.org

 

 

 

La Guerre des Éoliennes

Avec les 3 projets éoliens en cours d’étude dans notre Territoire, (Milhac-de-nontron, Saint-Saud Lacoussière, Saint-Jory-de-Chalais et maintenant Firbeix) distants de 4 à 5 kms à vol d’oiseau des uns des autres, voici le résultat (en vidéo enregistrée par la 1ère chaine de télévision allemande) de ce que va devenir le Périgord Vert Nontronnais dans quelques années si la population ne prend pas conscience du risque qu’elle prend en ne s’interrogeant pas à qui profite le développement de ces énergies du vent.

VIAPL